Sous le regard de Caroline Dabonot et de Miram Saïd Mohamed, la D2 de Vesoul a réalisée un match simplement parfait à domicile face à Abbeville.
Un contrôle de son banc, lucide, et l’état de grâce acquis au bout de 15 min. Le match était maitrisé du début à la fin pour Vesoul. Sous l’impulsion de Valdenaire en demi-centre, le jeu du CSV c’est accéléré en attaque, rythme que Coppola imitera tout le long de la rencontre. Cheikh Seck, nous a présenté un line up Valdenaire-Pourchet qui a fait des étincelles sur le coté gauches en défense et en attaque surtout avec des ballons extraterrestres pour Parisot.
Que dire aussi d’Aline Vouriot, qui, hier soir, pouvait arrêter des ballons d’une main les yeux fermés (exagérons). De leur coté les visiteuses, emmenées par Florence Chanteclair ont tenues 15 min au score avant de céder et subir le math, qui était très rythmé en première période avec un score de 15 pour le CSV et 8 pour Abbeville.
A la reprise toutefois, le ton change, le CSV subit un peu plus le match, laissant ses invitées du jour faire le jeu, tout en maitrisant le score et l’écart de 5 but (le minimum) entre les deux formations. C’est à ce moment que Parrisot et Mathieu ont décidées d’enfoncer le clou et le CSV c’est renforcés. Malgré une puissance en attaque d’Abbeville en deuxième période, plus synonyme d’orgueil, le match a été maitrisé.
Les enseignements de ce match resteront que le trio Mathieu-Parisot-Brouillet reste la colonne vertébrale du CSV en attaque, mais que la doublette Pourchet-Valdenaire a été très intéressante à regarder, car puissante, volontaire et surtout créatrice. Très bonne gestion du banc, des joueuses en pleines formes, motivées et déterminées. Un vrai régal pour les yeux.
CSV 31- 24 Abbeville
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