Trop puissantes, trop agressives, trop trop trop, les filles de Dijon ont été d'emblée agressive et cela a perturbé les filles de Vesoul.
Pourtant les deux équipes maintenait une illusion de score durant les 15 premières minutes environs, avant que l'on se rende compte qu'il n'y avait qu'une joueuse du niveau du coté Jaune et Bleue : Sandrine Delerce.
L'absence de Myriam Saïd Mohamed, c'est fait aussi sentir sur le match et les gardiènes n'étaient pas dans un grand jour.
Finalement, les débuts de la jeune Caroline Ménissier ont été compromis. La jeune fille, ayant la caractéristique d'un sang froid incroyable, paraissait tétanisé par l'enjeu, stressée même par la pression de ses équipières malheureusement déjà sous la pression d'un score qui seconde par seconde s'alourdissait à mesure que les tam tam endormissaient un public vesoulien passif.
Mauvaise idée ces tam tam, qui peut être en Afrique font chassés les mauvais esprits, mais qui ont juste tendance à endormir la concentration. En gros avec ce bruit d'arrière cours, dont le rythme n'allait pas du tout avec ce que l'on voyait sur le parquet, on avait juste l'impression d'être devant sa télé, médusé.
Y'a rien à dire, juste faire un constat qu'un match se passe aussi par l'agressivité dans les 5 ou 10 premières minutes. C'était une caractéristique qui a permis l'année dernière à Vesoul de bénéficier d'un accès à la D1F. Mais depuis le début de saison, la passivité de l'équipe, spectatrice de son accès à l'élite, fait beaucoup de peine.
Personnellement je souhaite juste voir ensemble sur un match le duo Menissier - Valdenaire, qui est très complémentaire. De toute manière, pour le club CSV, la saison est presque plier et préparé l'avenir reste la priorité.
Lourde défaite donc : CSV : 23 - 38 Dijon
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