21 févr. 2008

D1F : Vesoul désabusé face au Havre

Les pitreries de Caroline Menissier après le match resteront le seul amusement de cette soirée qui reste terne et pleine de regret.

Est ce que les filles ont corrigés leurs défauts ? La réponse est oui, car le match a été joué à fond durant les 60 min. Offensivement, peut de chose à dire, hormis Cécile Dechilly, brillante l'année dernière et qui déçoit cette année en D1.

Le corps arbitral ? L’expression rapporte qu'il "ne faut pas tirer sur les ambulances" mais lorsque l'on observe bien ce match et toute les remarques sur les arbitres dans le sport de notre beau pays...je n'en dirais pas plus. Mon silence suffira.

Après un bon quart d'heure de défense, Vesoul a pourtant subit le match, courant plus après le score qu'imposant son rythme. Mais pour imposer son rythme, l'effectif doit avoir confiance en lui, ce qui ne semble pas être le cas. La fin de saison libérera les dernières peurs.

Durant la mi-temps, Le Havre n'est resté que 10 min dans ses vestiaires, et 2 min après que son équipe était sur le terrain déjà prête et placée même, l'entraîneur de cette équipe fait pression sur les arbitres présents derrières leurs bureau pour faire sonner la sonnerie. A ma montre il était 20h42, il restait donc 3 min à Vesoul.

20h43, la sonnerie retentie et Vesoul arrive une minute après, sous l'oeil brillant de l'entraîneur du Havre, dont l'expression des yeux, même de loin depuis les tribunes, était synonyme de mauvais coup. Ce qui arriva à 30 secondes de la fin par ce flou artistique total de l'horloge. Pitoyable.

Une remarque, Anne Laure Pourchet fume des Lucky Strike !!! Le mythe de la sportive c'est effondré en moi à la reprise de la deuxième mi-temps. Reste que les attitudes et expression de son visage lors du match faisaient plaisir à voir, en espérant la revoir sur le terrain (après que je me sois enlevé l'image de ce paquet de clope ;-))

Vesoul a magnifiquement joué ce soir, des gestes fabuleux, un enthousiasme retrouvés, mais les visages en fin de match resteront tristes et surtout déçue.


CSV 26 - 30 Le Havre

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